le réchauffement climatique et l’effet de serre

Je suis sûre que 50% d’entre vous ne serez pas capables d’expliquer le réchauffement climatique. Alors, on vous l’explique :

Tout d’abord, notre planète possède une couche gazeuse qui enveloppe certains objets célestes, nommée atmosphère, ce qui n’est pas le cas des 8 planètes du système solaire : étant trop proche du soleil, Mercure n’en possède pas.

Sans cette atmosphère, il ferait en moyenne -18 °C sur Terre. Heureusement, grâce à cette dernière, il fait 15 °C en moyenne.

La planète bleue a beau être située à plus de 150 millions de kilomètres du soleil, les rayons solaires nous éclairent quand même. Et quand ils y parviennent, l’atmosphère les « filtre » : elle en renvoie 30% dans l’espace, en absorbe 20% et en envoie 50% vers le sol.

Normalement, ce sol chauffé émet des rayons infrarouges, qui nous procurent de la chaleur. Sans l’atmosphère, les rayons s’envoleraient vers l’espace et il ferait trop froid pour la vie des plantes, et donc, pour la production d’oxygène. Mais, grâce à cette atmosphère, seulement une toute petite partie (5%) de la chaleur repart vers le ciel. C’est ce qu’on appelle l’effet de serre, qui est, au départ, quelque chose de totalement naturel !

Au bout d’un moment, cette chaleur s’estompe et laisse place à la chaleur produite par de nouveaux rayons solaires.

Mais une émission trop importante de dioxyde de carbone (CO2) empêche cette chaleur de s’estomper. Alors, la chaleur reste, puis la nouvelle chaleur arrive et la planète se réchauffe. C’est un cycle.

Les moyens de transports, les usines et bien d’autres choses produisent ce CO2, c’est la pollution.

C’est pour cela que prendre sa voiture pour aller chercher son pain, est ridicule et mauvais pour la planète.

Un bus peut contenir environ 50 personnes. Alors, plutôt que 50 voitures, on prend 1 bus pour moins émettre de CO2. Ce n’est pas mieux ?

Gros bisous écos !!!

E.H. et G.H.

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LES DANGERS DES RÉSEAUX SOCIAUX

I : Les réseaux les plus répandus  

II : Les conditions pour s’inscrire

III : les arnaques les plus courantes

IV : Comment se protéger (conclusion)

V : Sources

I : Les réseaux les plus répandus

Voici une liste des 6 réseaux sociaux les plus répandus :

Le réseau social le plus répandu est Facebook (il compte plus de deux milliards d’utilisateurs actifs). Facebook est un réseau social américain créé en 2004 par Mark Zuckerberg.

Il est suivi par YouTube qui compte plus d’un milliard d’utilisateurs actifs. YouTube est un réseau social sur lequel on peut poster, regarder et commenter des vidéos. Il est créé en 2005 par Steve Chen, Chad Hurley et Jawed Karim.

Le troisième est WhatsApp avec plus d’un milliard d’utilisateurs actifs. C’est une messagerie. WhatsApp est créé en 2009 par Jan Koum et Brian Acton.

Le quatrième est Facebook Messenger (plus d’un milliard d’utilisateurs actifS) ; c’est une messagerie instantanée créée en 2011.

Avec plus d’un milliard d’utilisateurs actifs, WeChat est le cinquième réseau le plus répandu. Il est créé en 2011 par Tencent Holdings. L’application est très populaire en Chine.  

Instagram est le sixième réseau social (un milliard d’utilisateurs actifs). Il est créé en 2010 par Kevin Systrom.

Il existe aussi les réseaux Twitter et Snapchat.

II : Les conditions pour s‘inscrire

Sur la plupart des réseaux sociaux, il faut avoir au minimum 15 ans pour s’inscrire sans accord parental (majorité numérique votée par l’assemblée nationale). Toutefois, il faut garder à l’esprit qu’un réseau social est dangereux et n’a pas été créé pour les mineurs.

III : les arnaques les plus courantes

Pour commencer il y a l’arnaque du genre <<Vous avez gagné le dernier IPhone !!!>>.

C’est là qu’on se dit que c’est trop beau pour être vrai.

EXACTEMENT, C’EST TROP BEAU POUR ÊTRE VRAI.

Quand on reçoit ce genre de message, il ne faut surtout pas se fier à la photo de l’appareil emballé à votre nom et ne pas rappeler le numéro qui est envoyé avec le message car c’est un appel surtaxé (et pas qu’un peu).

Si les arnaqueurs vous menacent (même avec des photos de plaintes), il ne faut surtout pas leur répondre.

Ensuite, il y a le clonage de profil. Le cloneur fabrique un profil semblable au vôtre et s’en sert pour arnaquer vos contacts (avec un compte à votre nom) ou encore <<l’ami>> (dont vous ne savez strictement rien) qui a besoin d’aide et qui demande votre code de carte bancaire.

Pour finir un grand classique : LE PIRATAGE.

Voilà un petit résumé des arnaques les plus courantes (et encore, j’en passe)

IV : Comment se protéger (conclusion)

Les moyens les plus efficaces pour se protéger sont :

-ne jamais donner ses informations personnelles comme son adresse, son numéro de téléphone…

-ne pas laisser ses comptes ouverts pendant trop longtemps pour éviter les piratages ;

-ne pas répondre aux messages pour des concours douteux avec des cadeaux incroyables à la clé (Pourquoi faire gagner des téléphones hors de prix gratuitement ???)

– installer un antivirus sur son téléphone (on ne sait jamais)

-éviter d’inscrire ses enfants sur les réseaux (En ont-ils vraiment besoin ?). Les réseaux sont dangereux et ne sont pas indispensables pour les enfants( la majorité est à 18 ans, pas à 13 ans) . De plus, les arnaqueurs n’hésitent pas à faire des menaces ce qui peut être une source de grandes angoisses pour un adolescent.

V : Sources

https://www.francetvinfo.fr/replay-radio/nouveau-monde/nouveau-monde-comment-se-premunir-des-arnaques-sur-les-reseaux-sociaux_2840743.html

https://www.cases.lu/fr/arnaques-reseaux-sociaux.html

 

https://www.blogdumoderateur.com/reseaux-sociaux-100-millions/

 

https://www.webmarketing-conseil.fr/reseaux-sociaux/

 

Wikipédia

 

https://www.lesinrocks.com/2018/07/20/actualite/faux-profils-de-stars-numeros-surtaxes-les-arnaques-explosent-sur-instagram-111106768/

 

Sarah G.

 

Les chaînes de désintégration

Depuis le début des expérimentations scientifiques, le principe de transmutation de la matière est infirmé. Cependant, 6 chaînes de désintégration vont à l’encontre dudit principe.

1.     Les types de désintégrations

 

Dans la nature, la majorité des atomes sont des isotopes stables. Cependant, certains sont instables car très volumineux, et ce que l’on appelle l’interaction forte[1], qui lie les particules de l’atome entre elles et que l’on nomme ainsi faute d’informations, parvient difficilement à maintenir, et il suffit que cet atome reçoive un neutron. Cet arrivant inattendu compromet fortement l’équilibre atomique de l’élément, tant et si bien que l’atome se désintègre, c’est-à-dire qu’il se sépare en une ou plusieurs parties, ce qui forme de nouveaux atomes, et libère beaucoup d’énergie1.  Cette désintégration peut produire en outre une réaction en chaîne, c’est-à-dire lorsque les particules provenant d’une désintégration d’un atome pénètre dans le noyau d’un autre en le faisant se désintégrer lui aussi et lorsqu’il concerne un grand nombre d’éléments, s’ils ont atteint la masse critique. Cette désintégration de l’atome peut se faire de trois manières :

  • Il y a tout d’abord la désintégration de type alpha noté α est caractérisée par l’émission par le noyau d’une particule alpha, qui correspond à un noyau d’hélium 4.
  • Il y a aussi celle de type bêta noté β qui est divisée en deux branches :
  • Notamment observée chez les noyaux trop riches en neutrons, la désintégration bêta moins transforme un neutron en proton et émet une particule β- (bêta moins), en d’autres termes un électron.
  • Principalement observée chez les noyaux cette fois-ci trop riches en protons, la désintégration bêta plus convertit un neutron en proton en neutron et émet une particule β+, c’est-à-dire un positon (l’élément d’antimatière[2] correspondant à l’électron).
  • Il y a enfin la désintégration de type gamma notée γ qui concerne les nouvelles particules émises par une désintégration précédente. Lesdites particules sont alors dans un état très excité. Cette désintégration permet aux particules de se « calmer » en émettant un photon gamma. Cette transformation a pour principale curiosité que l’atome qui se désintègre de cette façon ne disparaît pas, et cette désintégration est fréquente dans les noyaux atomiques radioactifs venant d’être engendrés par désintégration d’un élément précédent, pour faire disparaître son excédent d’énergie due à la désintégration créatrice.

Ces chaînes ont un grand impact sur les chaînes de désintégration, car elles déterminent l’élément qui naîtra de la désintégration de l’élément-père. Ainsi, certaines chaînes possèdent des parallèles dues à la possibilité pour certains éléments de se désintégrer de deux manières différentes, ce qui crée potentiellement deux éléments différents.

II/ La découverte des filles de l’uranium

Il s’agissait tout d’abord de résoudre une énigme venant d’une expérience de William Crookes (1832-1919) datée de 1900. Il avait découvert dans de l’uranium chimiquement pur une substance soluble dans de l’hydroxyde d’ammonium et le carbonate d’ammonium qu’il nomma Uranium-X (il s’agira en réalité de protactinium), et celui-ci en conclut qu’il s’agissait d’une impureté. Le grand scientifique français Henri Becquerel (1852-1908), qui avait découvert les propriétés de l’uranium en 1896, retenta l’expérience l’année suivante, obtint le même résultat mais ne trouva pas le mystérieux mécanisme, bien qu’il eût remarqué des faits tendant à exclure l’hypothèse d’une impureté.

Ce sont réellement les travaux conjoints de Frederick Soddy et d’Ernest Rutherford à l’orée du XXème siècle (1900-1901) qui vont changer la donne en démontrant l’hypothèse des chaînes de désintégration. Ces travaux en esquissent 3 :

  • La chaîne de l’uranium (avec plusieurs stades de l’uranium, noté X1, X2…, ionium, radium (stades notés de A à G))
  • La chaîne du thorium (avec du mésothorium noté I, II etc. puis du thorium noté de A à D)
  • La chaîne de l’actinium (alternance d’actinium et de radioactinium, noté A, B, C…)

Naturellement, les appellations littérales caractérisaient des éléments atomiques existants et observés, mais, faute d’informations, on n’a pas pu leur donner de nom.

L’identification des éléments entrant dans ces chaînes sera parachevée durant tout le XXème siècle, avec beaucoup de travaux dédiés, dont il faut retenir ceux plus ou moins ensemble d’Otto Hahn et de Lise Meitner, qui découvrirent les éléments se cachant sous les étiquettes de radiothorium et de certaines formes de radium, de thorium et de mésothorium.

III/ Brèves biographies des grands chimistes qui ont intervenu de façon importante dans la découverte des chaînes de désintégration

 

  1. Frederick Soddy (1877-1956) est un grand chimiste anglais, célèbre pour sa loi atomique de conservation lors de désintégrations (loi de Soddy), et pour la découverte de la notion d’isotope (atome possédant le même nombre de protons qu’un atome défini, mais possède un nombre différent de neutrons). Pour ces travaux, il obtint le prix Nobel de Chimie en 1921.
  2. Ernest Rutherford (1871-1937) est lui aussi un grand atomiste britannique, célèbre pour son modèle atomique mentionnant les charges électriques. Il sera le grand découvreur des désintégrations alpha et bêta. Il recevra lui aussi le prix Nobel en 1908.
  3. Otto Hahn (1878-1968) est un chimiste allemand, directeur du département radioactivité de l’Institut du Kaiser-Wilhelm dès sa création. Ses travaux avec Lise Meitner notamment lui permettront de réaliser en 1938 la fission de l’uranium, premier pas vers une potentielle bombe atomique allemande via le projet Uran, ce qui lui vaudra le prix Nobel de chimie en 1944[3].
  4. Lise Meitner (1878-1968) est une grande physicienne autrichienne. Devenue une des premières doctorantes en physique en 1906, elle deviendra la collaboratrice d’Otto Hahn en devenant la directrice du département de physique à l’Institut du Kaiser-Wilhelm en 1917. Elle s’exilera en Suède en 1938 pour fuir les persécutions antisémites nazies.

IV/ Les chaînes de désintégration

 

Elles sont au nombre de 4, et elles se notent entre 4n+un nombre entre 0 et 3, auxquelles il faut rajouter celles des produits de fission :

  • La chaîne 4n+0 du thorium
  • La chaîne 4n+1 du plutonium
  • La chaîne 4n+2 de l’uranium 238
  • La chaîne 4n+3 de l’uranium 235

Ces chaînes partent d’un élément radioactif et _après diverses désintégrations_ perdent de l’énergie (exploitée partiellement dans des centrales nucléaires et dans les bombes atomiques), jusqu’à atteindre un élément physiquement stable (plomb…)

En voici l’étude en détail.

a.      La chaîne 4n+0 du thorium

 

Cette chaîne part du plutonium 244 et passe par divers isotopes d’uranium, de neptunium, de thorium, d’actinium, de radium, de plutonium, de bismuth et de polonium pour arriver au plomb 208.

Éléments chimiques Formule de l’élément Type de désintégration Demi-vie Masse critique (en kg) et autres informations (chaleur de fission et nombre de neutrons libérés durant la réaction)
Plutonium 244 244Pu Alpha 80 millions d’années  
Uranium 240 240U Bêta-moins 14 heures 6 minutes  
Neptunium 240 240Np Bêta-moins 1 heure 2 minutes  
Plutonium 240 240Pu Alpha 6560 années 37 (chaleur de fission de 7 W/kg et libération d’1 million de neutrons/kg/s)
Uranium 236 236U Alpha 23 420 milliers d’années  
Thorium 232 232Th Alpha 14 050 millions d’années  
Radium 228 228Ra Bêta-moins 5 ans 9 mois  
Actinium 228 228Ac Bêta-moins 6 heures 15 minutes  
Thorium 228 228Th Alpha 1,19 année  
Radium 224 224Ra Alpha 6,63 jours  
Radon 220 (Thoron) 220Rn Alpha 55,6 secondes  
Polonium 216 216Po Alpha 0,145 secondes  
Plomb 212 212Pb Bêta-moins 10,64 heures  
Bismuth 212 212Bi Bêta-moins : 64,06%

Alpha : 35,94%

60,55 minutes  
Polonium 212 (si le bismuth 212 subit une désintégration bêta-moins) 212Po Alpha (débouche directement sur le plomb 208) 0,3 microsecondes  
Thallium 208 (si le bismuth 212 subit une désintégration alpha) 208Ti Bêta-moins (débouche directement sur le plomb 208) 3,053 minutes  
Plomb 208 208Pb Stable    

 

b.      La chaîne 4n+1 du neptunium 237

Cette série est la seule des quatre actuellement artificielle, car la durée de vie de cette série est très courte, ce qui fait que tous les éléments de cette chaîne ont déjà abouti à l’isotope stable. La chaîne n’existant plus, elle est artificiellement reproduite en réacteur.

Élément atomique Formule de l’élément Type de désintégration Demi-vie

 

Masse critique (en kg) et autres informations (chaleur de fission et nombre de neutrons libérés durant la réaction)
Plutonium 241 241Pu Bêta-moins 14,4 années 13 (chaleur de fission de 6,4 W/kg et libération de 49 neutrons/kg/s)
Américium 241 241Am Alpha 432,7 années 57 (chaleur de fission de 57 W/kg et libération de 1500 neutrons/kg/s)
Neptunium 237 237Np Alpha 2,14 millions d’années 59 (chaleur de fission de 0,021 W/kg et 0,14 neutron libéré/kg/s)
Protactinium 233 233Pa Bêta 27 journées  
Uranium 233 233U Alpha 159 milliers d’années 16 kg (chaleur de fission de 0,28 W/kg et 1,2 neutron libéré/kg/s)
Thorium 229 229Th Alpha 75,4 milliers d’années  
Radium 225 225Ra Bêta 14,9 journées  
Actinium 225 225Ac Alpha 10 journées  
Francium 221 221Fr Alpha 4 minutes 48 secondes  
Astate 217 217At Alpha 32 millisecondes  
Bismuth 213 213Bi Alpha 46 minutes 30 secondes  
Thallium 209 209Ti Bêta 2 minutes 12 secondes  
Plomb 209 209Pb Bêta 3 heures 15 minutes  
Bismuth 209 209Bi Alpha ≈19 x1018 années, soit 19 milliards de milliards d’années  
Thallium 205 205Tl Stable    

Il faut cependant pondérer ce qui était dit précédemment. Certes, la durée de vie de la chaîne est courte, mais il faut préciser qu’aucune chaîne n’a atteint le stade du thallium 205 car la demi-vie du bismuth 209 (19 milliards de milliards d’années, soit 1 milliard de fois la distance temporelle entre l’instant présent et la création de l’Univers) l’en empêche.

c.       La chaîne 4n+2 de l’uranium 238

C’est une des chaînes les plus présentes dans la nature, comme l’atteste l’exemple de l’uranium 238, qui représente 99,2743% de l’uranium naturel. Cette chaîne a pour particularité d’avoir un élément sui lui est rattaché sans pourtant lui appartenir : c’est le plutonium 238[4]. Celui-ci est relié à cette chaîne par une désintégration alpha en donnant de l’uranium 234. Néanmoins, il n’en fait pas partie car il n’est pas le fruit de la désintégration d’un des éléments de ladite chaîne.

Élément chimique Formule de l’élément Type de désintégration Demi-vie Masse critique (en kg) et autres informations (chaleur de fission et nombre de neutrons libérés durant la réaction)
Plutonium 242 242Pu Alpha 373 milliers d’années 89 (chaleur de fission de 0,12 W/kg et libération de 1 700 000 neutrons/kg/s)
Uranium 238 238U Alpha 4 468 800 000 années  
Thorium 234 234Th Bêta 24 journées  
Protactinium 234 234Pa Bêta 1 minute 12 secondes  
Uranium 234 234U Alpha 245 milliers d’années  
Thorium 230 230Th Alpha 75 milliers d’années  
Radium 226 226Ra Alpha 1602 années  
Radon 222 222Rn Alpha 3 jours 3 heures  
Polonium 218 218Po Alpha (bêta dans 0,02% des cas) 3 minutes  
Plomb 214 214Pb Bêta 27 minutes  
Bismuth 214 214Bi Bêta (alpha dans 0,02% des cas) 20 minutes  
Polonium 214 214Po Alpha 160 microsecondes  
Plomb 210 210Pb Bêta (alpha dans 1 cas sur 50 millions) 22,3 ans  
Bismuth 210 210Bi Bêta (alpha dans 13 cas sur 10 millions) 5 journées  
Polonium 210 210Po Alpha 138,376 jours  
Plomb 206 206Pb Stable    

 

d.      La chaîne 4n+3 de l’uranium 235

Élément chimique Formule de l’élément Type de désintégration Demi-vie Masse critique (en kg) et autres informations (chaleur de fission et nombre de neutrons libérés durant la réaction)
Plutonium 239 239Pu Alpha 24 110 années 10 (chaleur de fission de 2W/kg et libération de 22 neutrons/kg/s)
Uranium 235 235U Alpha 703,8 millions d’années 48 (chaleur de fission de 0,00006 W/kg et libération de 0,36 neutron/kg/s)
Thorium 231 231Th Bêta 25 heures 30 minutes  
Protactinium 231 231Pa Alpha 32 700 années  
Actinium 227 227Ac Bêta 21,8 années  
Thorium 227 227Th Alpha 18,72 jours  
Radium 223 223Ra Alpha 11,43 journées  
Radon 219 219Rn Alpha 3,96 secondes  
Polonium 215 215Po Alpha 1,78 milliseconde  
Plomb 211 211Pb Bêta 36 minutes 6 secondes  
Bismuth 211 211Bi Alpha 2,15 minutes  
Thallium 207 207Tl Bêta 4,77 minutes  
Plomb 207 207Pb stable    

 

Cette chaîne de désintégration est complexe par le fait de la création d’une chaîne parallèle, avec des retours nombreux à la chaîne détaillée ci-dessus en cours de route.

Éléments chimiques Formule de l’élément Type de désintégration Demi-vie Masse critique (en kg) et autres informations (chaleur de fission et nombre de neutrons libérés durant la réaction)
Actinium 227 227Ac Alpha dans 1,38% des cas 21,8 années  
Francium 223 223Fr Bêta-moins (alpha dans 0,006% des cas) 22,007 minutes  
 Si désintégration bêta du francium, radium 223 (retour sur la chaîne principale)… 223Ra Alpha 11,43 journées  
Si désintégration alpha du francium, astate 219 219At Alpha (bêta moins dans 3% des cas) 56 secondes  
Si désintégration bêta moins de l’astate, radon 219 (retour sur la chaîne principale)… 219Rn Alpha 3,96 secondes  
Si désintégration alpha de l’astate, bismuth 215 215Bi Alpha 36 minutes 25 secondes  
Si désintégration alpha du bismuth, alors polonium 215 215Po Alpha (bêta moins dans 0,00023% des cas) 1,78 milliseconde  
Si désintégration alpha du polonium, continuation sur la chaîne principale        
Si désintégration bêta du polonium, alors astate 215 215At Alpha 0,1 milliseconde  
Bismuth 211 211Bi Alpha (bêta moins dans 0,276% des cas) 2,15 minutes  
Si désintégration alpha du bismuth, alors retour sur la chaîne principale        
Si désintégration bêta moins du polonium, alors polonium 211 211Po Alpha 0,5163 secondes  
Plomb 207 Stable      

 

e.      Les chaînes de désintégration des produits de fission

Lors des désintégrations des éléments détaillés ci-dessus, il est courant que le nombre de neutrons et (numéro atomique) et des autres particules (protons et électrons) de la fille soit inférieure à celui de la mère (mais jamais supérieur). D’après les lois de Soddy, découvertes par Frederick Soddy, énonçant que, lors d’une transformation nucléaire, le nombre de nucléons (c’est-à-dire les protons et les neutrons) et la charge électrique est conservée, ces particules manquantes n’ont pas disparues. Ceux-ci, en fait, s’assemblent en plusieurs atomes beaucoup moins massifs (99 à 135 contre 207 à 244 neutrons) mais toujours radioactifs, créant par là deux chaînes de désintégration ; celle de l’yttrium et de l’iode 235. Ces chaînes ont pour particularité de conserver au fil des désintégrations le nombre de nucléons et à peu près une durée de demi-vie équivalente.

Celle de l’yttrium est la plus longue, et en plus de contenir des isotopes, elle contient des isomères, autrement formulé des particules possédant le même nombre de neutrons que l’atome, ou l’isotope, de référence, mais différent de celui-ci au niveau énergétique. Ceux-ci sont notés avec un m rajouté dans la formule de l’isomère, avec parfois un chiffre qui le suit s’il y en a plusieurs, comme dans 99m2Mo.

Nom de l’élément chimique Formule de l’élément Demi-vie
Yttrium 99 99Y 1,4707 secondes
Zirconium 99 99Zr 2,11 secondes
Isomère du niobium 99 99mNb 2,62 minutes
Niobium 99 99Nb 15,02 secondes
Deuxième isomère du molybdène 99 99m2Mo 0,766 microseconde
Premier isomère du molybdène 99 99m1Mo 15,52 microsecondes
Molybdène 99 99Mo 2,74896 jours
Isomère du technétium 99 99mTc 6,005812 heures
Technétium 99 99Tc 211 100 années an moyenne, avec des extrêmes à plus ou moins de 1200 années
Ruthénium 99 99Ru Stable

 

La deuxième chaîne de désintégration est celle de l’iode 135. Elle contient des particules plus massives que celles de la chaîne de l’yttrium (135 contre 99 neutrons), mais elle est beaucoup plus courte et elle ne possède pas d’isomères.

Élément chimique Formule de l’élément Demi-vie
Iode 135 135I 6,572 heures
Xénon 135 135Xe 9,142 heures
Césium 135 135Cs 2 330 000 d’années
Baryum 135 135Ba stable

 

V/ Présence de ces éléments radioactifs

La présence naturelle de ces éléments dépend de sa durée de vie, caractérisée par sa demi-vie ou période radioactive, c’est-à-dire la période nécessaire à cet élément pour perdre la moitié de sa radioactivité. Ainsi, certains éléments ont déjà disparu, comme le plutonium 240. Ceux-ci sont alors crées artificiellement, de façon volontaire (laboratoire) ou involontaire (réacteur nucléaire). Ils peuvent aussi dépendre de la durée de demi-vie des éléments précédents. Ainsi, le radium 228, avec les 14 050 millions d’années de demi-vie (supérieur à l’âge de l’Univers) du thorium 232, l’élément le précédent, doit être peu présent par désintégration. De même, le thallium 205 est très rare, voire inexistant dans la chaîne de désintégration, du fait de la demi-vie de 19×1018 ans du bismuth 209 (qui est égale à 1 266 666 666 fois l’âge de l’Univers !). Lorsqu’un élément regroupe tout ou partie de ces avantages dans un lieu, il peut atteindre l’équilibre séculaire ou équilibre radioactif qui est une situation dans laquelle le nombre d’atomes se désintégrant est compensé par le nombre d’élément radioactifs (précédant l’atome dont il en est question dans sa chaîne de désintégration) devenant ledit atome.

Quant à leur utilité générale, elle est primordiale sur plusieurs points. Sur le plan énergétique, les perspectives offertes sont immenses. 1 gramme d’uranium, par exemple, produit autant qu’une tonne de charbon ! Et l’énergie dégagée dans les centrales nucléaires est minime comparé au potentiel total. En effet, on pourrait _que sais-je ?_ partir d’un élément initial et de le forcer à donner toute sa force radioactive pour arriver à l’élément stable. Sur le plan militaire, elle est une arme décisive, destructrice, mais surtout dissuasive, et cette arme à contribué à l’évitement de certains affrontements armés directs, comme lors de la Guerre Froide. Sur le point sanitaire, notre corps, qui en contient, en a besoin (en infime quantité bien sûr). Sur le plan aéronautique, la puissance nucléaire a propulsé certaines fusées. Et enfin, sur le plan économique, elle sert de contrepoids (faible) au pétrole et permet de limiter les effets d’un choc pétrolier (qui fut la raison de la construction des centrales en France).

VI/ Annexe : quelques relations mathématiques si l’élément initial est le seul au départ

Soit t le temps, un instant variable. Soit Xn(t) le nombre de noyaux atomiques de l’élément n à l’instant t, et An(t) son activité radioactive (en becquerels) au même instant. Soit Tn la période radioactive dudit élément, p(n) la probabilité pour cet élément de se désintégrer, et ex le nombre e (un nombre environ égal à 2,718) porté à la puissance x.

Avec ces variables, on a :

An(t)=p(n)*Xn(t)

Xn(t)=An(t)/p(n)

P (n)= ln(2)/Tn

Décroissance exponentielle de la radioactivité de n à l’instant t=An(t=0)*e-p(n)*t

An1(t) (n1=fils de n)= (an(t=0)*p (n1))/ (p (n1)-p(n))*(e-p(n)*t-e-p (n1)*t)

An2(t) (n2=petit-fils de n)= an(t=0)*p (n1)*p (n2)*e(-p (n)*t)/(p (n2)-p (n))*(p (n1)-p (n))+e(-p (n1)*t)/(p (n2)-p (n1))*(p (n)-p (n1))+e(-p (n2)*t)/(p (n)-p (n2))*(p (n1)-p (n2)

Si les périodes sont très grandes, alors on atteint l’équilibre radioactif ou séculaire.

 

Auteur: Pierre S. (3e4)

[1] Par opposition, l’interaction faible est le nom donné aux interactions et à l’énergie radioactives.

[2] L’antimatière est un système opposé au système d’élément constituant la matière à l’échelle quantique (quarks, bosons, leptons, neutrinos…). Chacun de ses éléments correspond à un de l’autre système. Ces couples possèdent le même spin, la même énergie… mais ont des charges électriques opposées.

[3] De façon ironique, cette découverte alertera un scientifique hongrois émigré aux États-Unis, Léo Szilàrd, qui le poussera à lancer une pétition pour créer des recherches sur la bombe atomique aux USA, et qui sera à l’origine du projet Manhattan.

[4]Quelques caractéristiques du plutonium 238 : formule 238Pu, demi-vie de 88 ans, masse critique de 10 kg, chaleur de fission de 560 W/kg et libération de 2 700 000 neutrons/kg/s.

le harcèlement scolaire

Le harcèlement scolaire est malheureusement fréquent dans les écoles que ce soit primaire, collège ou lycée. Il peut y avoir des conséquences minimes (pleurs) mais cela peut aller jusqu’à des conséquences très graves (suicide).

Il y a plusieurs méthodes de harcèlement :

– le harcèlement moral,

– le harcèlement verbal,

– le harcèlement physique.

Il existe aussi le cyber-harcèlement qui consiste à harceler une personne par les réseaux sociaux :

– poster une photo de la personne en question sans son accord ,

– envoyer des commentaires ou des messages nuisant à la personne.

La plupart du temps, les victimes n’osent pas en parler à un adulte de peur que ça s’aggrave et que les harceleurs soient encore plus méchants.

Mais le meilleur moyen d’arrêter le harcèlement scolaire est d’en parler, et vous, les parents qui lisez cet article, si, à plusieurs reprises votre enfant rentre et se plaint, ne le prenez pas à la légère en vous disant que ça passera. Réagissez pour éviter que cela n’empire.

Par Orianne.Set Sarah.G

PERTURBATEURS ENDOCRINIENS ET MALADIES MENTALES

PERTURBATEURS ENDOCRINIENS ET MALADIES MENTALES

 

I/ Problématique et contexte

 

Depuis le Révolution industrielle, notre QI moyen n’a eu de cesse de croître (effet Flynn). Mais depuis presque 2-3 décennies, celui-ci baisse inexorablement, à raison de 2 points par personne et par décennie. Sachant qu’un QI  moyen équivaut à 100, cet impact est non négligeable.

 

II/ L’iode et la thyroïde

Une des raisons de ce déclin vient du manque d’iode, et tout particulièrement de sa difficile assimilation par la thyroïde. La thyroïde est une glande hormonale qui reçoit de l’iode pour faire fonctionner ses hormones thyroïdiennes, surtout la T4 ou thyroxine C15H11I4NO4. Cette thyroxine, et les autres hormones thyroïdiennes sont responsables du bon fonctionnement du cerveau.

 

Un des exemples l’atteste. Il s’agit d’une maladie mentale nommée crétinisme. Les personnes sujettes à cette maladie ont une petite taille, un fort retard mental, avec un QI inférieur à 35, et une thyroïde enflée. C’est à partie de cette maladie que, au XXème siècle, les chercheurs ont montré le lien entre manque d’iode,  thyroïde et maladies mentales.

 

III/Perturbateurs endocriniens, perturbateurs hormonaux

Mais, alors que le crétinisme est éradiqué, confiné dans des régions enclavées, comment expliquer cette baisse mondiale d’intelligence alors que tout l’incite à augmenter ? C’est alors qu’interviennent les perturbateurs endocriniens, des produits massivement utilisés dans l’industrie actuelle. Connus pour leur activité de dérégulateur des hormones, certains, comme les dérivés du chlore, du brome et u fluor, affectent tout particulièrement la glande thyroïdienne, en se fixant à la place de l’iode grâce à leur structure pratiquement analogue avec ladite iode. Alors, bien qu’il y ait de l’iode, cette dernière ne peut se fixer, la thyroïde étant saturée de perturbateurs. Manquant de cette pièce maîtresse, le processus hormonal de la thyroïde est déréglé, et cela engendre des maladies mentales et une baisse de QI. Ainsi, si lors de la grossesse la mère n’a pas assez d’iode, alors le bébé aura de fortes chances de naître avec des difficultés d’apprentissage, de l’autisme (dont la proportion a été multipliée par 600), voire des TDAH (troubles de l’attention et hyperactivité).

 

IV/ Des perturbateurs (trop) omniprésents

 

Ainsi, l’intelligence humaine est menacée par son œuvre ! Nous pourrions nous dire qu’il suffit de supprimer, d’interdire les perturbateurs endocriniens. Hélas ! La tâche est complexe.

Tout d’abord, ces perturbateurs sont omniprésents. Par exemple, une catégorie de ces composés nocifs forme les CFC, ou chlorofluorocarbones, dérivés du chlore et du fluor. Ceux-ci sont très présents dans l’industrie du froid, les propulseurs, les mousses isolantes et les nettoyants. Un autre composé du chlore forme des pesticides, touchant toutes les régions agricoles du monde ! Et enfin, des composés du brome ont formé des retardateurs de flamme (qui répondent aux doux noms de polybromobiphényle, polybromodiphényléther, hexabromocyclododécane, tétrabromobisphénol A…, le radical –bromo-indiquant la présence de brome) utilisés depuis les années 80 en Californie et qui se mettent à envahir l’Europe. En Californie, ils étaient obligatoires depuis 1975 jusque sur les pyjamas ! Et ce n’est que depuis novembre 2013  ces produits ne sont plus obligatoires là-bas. Cela est d’autant plus alarmant que l’efficacité de ces perturbateurs est fortement contestée.

 

V/ Conclusion

Nous avons vu que cette baisse de QI n’est pas inexorable, et nous pouvons l’arrêter. Ou plutôt devons-nous l’arrêter, car, dans la pratique, cette baisse a de forts impacts économiques, car un point de QI représente 2 % de rentabilité. Avec environ 1 million d’euros produits en moyenne en une vie, la facture économique s’élève 350-450 milliards de dollars pour l’UE, et 400-500 milliards pour les USA. Ces chiffres sont à mettre en comparaison avec le PNB de la France, qui équivaut à près de 2200 milliards d’euros.
 

Écrit par Pierre S ( 3e4)

Les volcans

Le Vésuve

 

Le Vésuve est un volcan italien situé en Campanie. Avec son altitude de 1281m, il est à l’origine de destructions massives : Pompéi , Herculanum, Oplontis et Stabies (24 août 79) . Malgré son activité, sa dernière éruption date de 1944. Le Vésuve connaît

des éruptions explosives mais aussi effusives. Sur 8 niveaux de dangerosité, il est classé à 5. Il a entraîné la mort de plus de 16 000 personnes.

Par Orianne S. et Sarah G.

 

Les trous noirs

Par Olivier M . ( 6e4)

Introduction :Ce sont les objet les plus mystérieux de l’Univers. Monstres invisibles et dévorants, ce sont aussi les plus terrifiants . Ils président à la naissance des galaxies, au destin de l’Univers tout entier . Personne n’a encore observé de trou noir mais ils n’appartiennent pas pour autant au monde de la science-fiction. Pour les astronomes, ils sont aussi réels que la Lune ou le Soleil

Qu’est ce qu’un trou noir ?

En astrophysique, la physique des astres, un trou noir est un objet céleste si dense que l’intensité de sa « gravité » empêche toute forme de matière ou de lumière de s’en échapper. De tels objets ne peuvent ni émettre, ni diffuser la lumière et sont donc noirs, ce qui en astronomie revient à dire qu’ils sont invisibles. Au centre du trou noir il y a une singularité gravitationnelle (une sphère plus petite qu’un atome où se concentre toute la masse absorbée par le trou noir).

Comment se crée un trou noir?

Les trous noirs sont les objets les plus sombres de l’Univers. Pourtant, la plupart d’entre-eux proviennent d’étoiles qui furent très brillantes. Le secret de ces deux types d’astres est la gravitation. Les étoiles naissent au sein de nuages diffus de gaz et de poussières qui finissent, parfois après des milliards d’années, par s’effondrer sous l’effet de leur propre masse . Mais cet effondrement gravitationnelle ne se poursuit pas indéfiniment jusqu’à former un trou noir.

Comment a été découvert le premier trou noir ?

En 1970, un satellite américain baptisé Uburu a été mis en orbite.Il devait repérer les sources de rayons X. Uburu découvrit une centaine de source de rayons X (pour la plupart des étoiles à neutrons aspirant la matière de leur voisine) Mais Cygnus XI était différent. Sa position coïncidait avec celle d’une très grosse étoile bleue et chaude, environs 30 fois plus massive que le Soleil. Cette étoile tournait autour d’un astre invisible d’environs 10 masses solaires, soit bien davantage que la masse d’une étoile à neutrons. Le doute n’était plus permis: les astronomes venaient de découvrir le premier trou noir.
Comment les voir ?

Plusieurs techniques d’observation indirecte ont été mises au point et permettent d’étudier les phénomènes qu’ils créent. En particulier, la matière absorbée par un trou noir est chauffée à des températures considérables avant d’être « engloutie » et émet une quantité importante de rayons X. Envisagée dès le XVIIIème s., dans le cadre de la mécanique classique (la mécanique classique est une théorie physique qui décrit les mouvements des objets macroscopiques, énormes), la gravitation étant le seul effet pouvant sortir d’un trou noir, une observation quasi-directe de trous noirs a pu être détaillée en février 2016 par le biais de la première observation directe des ondes gravitationnelles.

L’actu du tennis Novembre 2016 : Masters, Nadal forfait et nouveaux n°1 !

Par Clément H.

Cette fin de saison de tennis est particulièrement passionnante car chez les hommes et les femmes, le numéro 1 mondial a changé.

Chez les hommes, le britannique Andy Murray,numéro 1 mondial, a pris le contrôle du monde tennistique et a mis fin à 126 semaines de règne de Novak Djokovic.

Chez les femmes, la germanique Angélique Kerber a pris le trône de Serena Williams, qui a conservé sa place pendant trois ans.

Il y a un dernier tournoi masculin cette année, l’ATP WORLD TOUR FINALS qui concerne les 8 meilleurs joueurs au classement ATP. Rafael Nadal est forfait en raison d’une blessure.

Il y aura un français présent, Gaël Monfils, numéro 7 mondial.

Andy Murray espère briller et remporter pour la première fois le Masters.

Hier, Novak Djokovic a remporté son premier match face au robuste Dominic Thiem. Gaël Monfils s’est incliné face au canadien Milos Raonic. Aujourd’hui, un gros duel nous attend entre Stan Wawrinka

et  Kei Nishikori.

Andy Murray s’est qualifié au contraire de notre français Gaël Monfils, dernier et forfait de sa poule.

Avis sur quelques films

Par Raphaël P.

Humour – Alibi.com :⭐⭐⭐⭐

Greg a fondé une entreprise nommée Alibi.com qui crée tout type d’alibi. Avec Augustin son associé, et Medhi son nouvel employé, ils élaborent des stratagèmes et mises en scène imparables pour couvrir leurs clients. Mais la rencontre de Flo, une jolie blonde qui déteste les hommes qui mentent, va compliquer la vie de Greg, qui commence par lui cacher la vraie nature de son activité. Lors de la présentation aux parents, Greg comprend que Gérard, le père de Flo, est aussi un de leurs clients…

Action – Kong Skull Island:⭐⭐⭐

Un groupe d’explorateurs plus différents les uns que les autres s’aventurent au cœur d’une île inconnue du Pacifique, aussi belle que dangereuse. Ils ne savent pas encore qu’ils viennent de pénétrer sur le territoire de Kong…

Histoire Vraie – Lion:⭐⭐⭐⭐⭐

Une incroyable histoire vraie : à 5 ans, Saroo se retrouve seul dans un train traversant l’Inde qui l’emmène malgré lui à des milliers de kilomètres de sa famille. Perdu, le petit garçon doit apprendre à survivre seul dans l’immense ville de Calcutta. Après des mois d’errance, il est recueilli dans un orphelinat et adopté par un couple d’Australiens.

25 ans plus tard, Saroo est devenu un véritable Australien, mais il pense toujours à sa famille en Inde.

Armé de quelques rares souvenirs et d’une inébranlable détermination, il commence à parcourir des photos satellites sur Google Earth, dans l’espoir de reconnaître son village.

Mais peut-on imaginer retrouver une simple famille dans un pays d’un milliard d’habitants ?

le ville de demain: une vie meilleure

Cités flottantes, gratte-mer, villes connectées… voici la nouvelle vie !
– Après la vie sur terre la vie sur mer avec cités flottantes, gratte mer que des
projets connectés et écologiques, ce seront des villes durables.
– Plus besoin d’aller faire ses courses, la technologie future le fait pour vous !
– Des imprimantes 3D pour créer les objets qu’il vous faut.
– Des panneaux solaires avec végétation incluse sur des surfaces, espaces
publiques et immeubles.
– Villes connectées pour favoriser l’échange de communication entre les
citoyens.
– Collectes intelligentes des déchets pour éviter les trajets inutiles.
– Un maximum de transports électriques (train, voiture, avion pour moins
polluer).
– Plus de trafic de vélos et de marche à pieds pour moins de pollution.
– La ville de demain favorisera le bien-être de la planète.
Une ville de demain vue par :
Côme, Timothée, Léonard, Romain, classe de 6e4, cours de géographie